Le terme GINK, acronyme de « Green Inclination No Kids », désigne des individus ou des couples qui choisissent de ne pas avoir d’enfants pour des raisons liées à l’environnement et à la durabilité. Les personnes identifiées comme GINK prennent cette décision en grande partie pour réduire leur empreinte écologique, en raison de préoccupations concernant la surpopulation mondiale, les effets du changement climatique ou la pression exercée sur les ressources naturelles. Ce choix s’inscrit dans un mode de vie qui privilégie des pratiques écologiques, telles que la réduction des déchets, la consommation responsable et la protection de l’environnement.
Les personnes GINK considèrent souvent que ne pas avoir d’enfants est un moyen concret de limiter leur impact environnemental. En effet, la production, l’éducation et la consommation associées à la parentalité sont perçues comme des facteurs contribuant à la dégradation de l’environnement. Ce choix peut aussi s’accompagner d’un engagement envers des actions visant à protéger la planète, comme le recyclage, l’utilisation de véhicules écologiques, ou la réduction de la consommation de ressources. Ainsi, les GINK se définissent souvent par un ensemble de comportements qui visent à minimiser leur impact sur la Terre.
Tout comme les autres choix de vie, le modèle GINK peut être sujet à des débats ou à des jugements dans des sociétés où la parentalité est traditionnellement perçue comme une étape naturelle et essentielle de la vie. Cependant, les GINK mettent en avant leur engagement envers la planète comme une alternative valable et responsable. Pour eux, cette décision est souvent synonyme de cohérence entre leurs valeurs écologiques et leur mode de vie, et elle est parfois accompagnée de l’idée qu’il est plus éthique de ne pas perpétuer une génération supplémentaire dans un monde en crise environnementale.